04/16/18

. Exposition – Baker Street

baker-street

Baker Street est une rue de la Cité de Westminster à Londres. Il y plane les ombres de Sherlock Holmes et du Docteur Watson ainsi qu’une ambiance qu’on ne rencontre nulle part ailleurs. Elle symbolise le polar anglais dans toute sa splendeur et il était tout naturel qu’elle devienne le titre d’une exposition photographique. La réalisation des images noir et blanc qui pourraient devenir des scènes de crime et qui potentiellement pourraient inspirer des auteurs et leur offrir « l’écrin » dans lequel ils pourraient imaginer leurs dramatiques histoires. Là, dans cette cour en contre-bas, derrière le linge qui sèche les couteaux pourraient se déchaîner. Ici, non loin de la Tate Modern, la future victime ne sait pas ce qui l’attend. Un taxi véhicule de lourds secrets. Le métro réserve de surprenantes rencontres.Les fantômes de la Tour de Londres vont se réveiller.

Chaque photographie véhicule un potentiel d’imaginaire et Londres vue au travers du prisme du roman policier peut se révéler très inquiétante…Ouvrez l’œil, derrière chaque pan de mur, votre vie peut basculer !

Du 15 mai au 1er juin 2018

Galerie du théâtre le Colisée
Rue de Paris
Entrée libre

03/28/18

. Pol’art au musée

PolarLens s’invite au musée du Louvre-Lens le samedi 14 avril 2018

 

  • Samedi 14 avril de 14h30 à 15h30
    « D’Arsène Lupin à Robert Langdon, polar au musée »
    avec Cédric Hannedouche, professeur agrégé, docteur en Langue et Littérature françaises, université d’Artois.
  • Samedi 14 avril de 15h30 à 17h
    « Scènes de crimes au Louvre »
    suivie d’une séance de dédicace avec Christos Markogiannakis, ancien avocat pénaliste,auteur de romans policiers.

 

Centre de ressources du musée du Louvre-Lens
Gratuit dans la limite des places disponibles
Renseignements et réservations au 03 21 18 62 62

01/23/18

. Nuit Serial Killers, le retour…

polarlens-2014-Les tueurs de la route

C’est le retour de la nuit serial killers le 17 février au Colisée

Stéphane Bourgoin, criminologue, spécialiste des tueurs en série vous propose une nouvelle plongée dans l’univers des tueurs en série. C’est une nouvelle nuit blanche avec pour thème « Les tueurs de la route », à laquelle nous vous invitons le samedi 17 février 2018 au Théâtre Municipal Le Colisée de Lens.

Programme

20h – Les tueurs de la route

Documentaire – 55 minutes

  • Beaucoup de tueurs en série sont nomades, et c’est cette mobilité même qui les rend si difficiles à traquer. Comment repérer ces routiers ou routards du crime, quels sont les moyens dont disposent les enquêteurs pour coordonner leurs investigations lorsque les scènes de crime sont éparpillées sur plusieurs milliers de kilomètres ?
  • Arrêté dans le Tennessee, le routier Bruce Mendenhall a tué des prostituées et des fugueuses dans plusieurs Etats ; en Europe, c’est le routier allemand Volker Eckert, surnommé le « Tueur au Polaroïd » pour sa manie de photographier les corps de ses victimes, qui a sévi en Allemagne, en Espagne et en France.
  • En Champagne-Ardennes, l’adjudant Pierre Chanal est le présumé responsable des enlèvements et assassinats de jeunes appelés du contingent qui font de l’auto-stop dans l’affaire des « Disparus de Mourmelon ».

21h – Débats avec le public

 

22h – Pause-café

 

22h15 – Stéphane Bourgoin raconte : William Cook, l’auto-stoppeur de la mort

Documentaire – 13 minutes

« Je vais vivre sur la route et je ne connais qu’une seule loi, celle de mon flingue, » déclare William Cook à son père. Auto-stoppeur, routard du crime, il assassine six personnes, dont trois enfants en 1950-51. Il est exécuté dans la chambre à gaz de San Quentin le 12 décembre 1952. Cook est affligé d’une tare physique qui l’empêche de clore ses paupières, même lorsqu’il dort.

Son cas inspire The Hitch-Hiker (« Le voyage de la peur »), un formidable film noir réalisé par l’actrice Ida Lupino.

22h30 – Le voyage de la peur (The Hitch-Hiker)

1953 – Fiction – 71 minutes

Deux amis qui se rendent à une partie de chasse prennent en stop un dangereux psychopathe. Cet homme, un tueur en série, fait d’eux ses otages et les oblige à franchir la frontière du Mexique pour échapper aux forces de l’ordre. Le seul film noir à avoir été réalisé par une femme, Ida Lupino, l’inoubliable partenaire de Humphrey Bogart dans « High Sierra » de Raoul Walsh. Basé sur l’histoire vraie du serial killer William Cook qui, au début des années 1950, massacre six personnes dont trois enfants, avant d’être exécuté le 12 décembre 1952. « Un très bon choix d’acteurs et une bonne direction. Un excellent policier. » Bertrand Tavernier & Jean-Pierre Coursodon (50 ans de cinéma américain).

Samedi 17 février – 20h (dédicaces à partir de 19h)
Théâtre Municipal Le Colisée
12, rue de Paris à Lens
Animation gratuite pour public averti
Sur réservation : polarlens@mairie-lens.fr
(n’oubliez pas d’indiquer le nom des participants)

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01/23/18

. Dictée assassine au Louvre-Lens

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A qui la faute ?

Venez tester vos talents en orthographe
le samedi 10 février au Louvre-Lens

Julien Soulié, professeur de lettres classiques et auteur d’Exercices d’orthographe pour les Nuls, vous a concocté une dictée des plus assassines. Saurez vous survivre aux accords, aux accents ou au passé-composé ? Pour le découvrir, veuillez vous inscrire dans l’une des trois catégories ( juniors, adultes amateurs et adultes professionnels).

Samedi 10 février 2018 à 15h
Centres de ressources, auditorium du musée du Louvre-Lens
Gratuit, dans la limite des places disponibles [Complet]
Renseignements et réservations par mail sur polarlens@mairie-lens.fr ou via le formulaire ci-dessous
(n’oubliez pas d’indiquer le nom des participants ainsi que la catégorie choisie)
En partenariat avec le Louvre-Lens et le Furet du Nord


Souverains poncifs, revivez la dictée comme si vous y étiez


En cette ère post-vérité où les papes de l’intox font foi, soyons honnêtes : que de stéréotypes, quelquefois drolatiques, souvent pathétiques, a-t-on véhiculés sur le Sud et les Méditerranéens ! Que de contre-vérités ont été répandues sur cette gent exubérante, à l’accent et aux jurons si chantants – on songe évidemment au con plaisant des Toulousains valant bien peuchère sur la Canebière ! Combien de cacous marseillais basanés, naviguant entre galéjade(s) et hâle(s) bis, ont été coulés par des a priori bateau… À quand, d’ailleurs, des mots-dièse tels que « Balance ton Vieux-Port » !

(Fin pour les juniors)

Longtemps se sont perpétués et ressemblé, sur l’Ancien Continent, querelles meurtrières et différends assassins, qui ont rendu quasi convaincants – quoique le legs des Lumières n’eût dû laisser aucunes ténèbres dans nos consciences – des clichés négatifs. Les Italiens ? Au mieux, des gouapes brun foncé doublées d’esbroufeurs machos ; au pis, des tifosi(s) exaltés, pignoufs du pignon, voire d’intrigants mafiosi aux tentacules mortels – la Pieuvre à l’appui, oserait-on dire. Les Portugais ? Forts d’arguments que nous croyions béton, nous nous sommes imaginé que ces férus d’échiffre(s) sont venus en nombre faire le mur à coup(s) de placoplatre ! Quant à leurs épouses, ce seraient des bignoles à la villosité axillaire tout hirsute : de quoi les prendre pour de bon à rebrousse-poil !

(Fin pour les adultes amateurs)

Sus à ces pseudo-parlers-vrai provocs, s’il en fut ! Du reste, il siérait que nos vraies gens des Hauts-de-France, réduits parfois aux pauses(-)café arrosées – car à bistouille(s) –, se ressouvinssent qu’ils se sont vu ô combien dénigrer… Décri déchirant : d’abord, il fut impossible de remettre en selle leurs filatures ; puis, l’écheveau disparu, on passa au chevalet abandonné : au rancart, les Sisyphes endogés, boiseurs n’ayant pour tout raucher que leurs étançons et la foi du charbonnier…
Las ! jenny et lorry sont désormais des clichés sépia dont on n’a gardé qu’une bobine triste et une mine effondrée : avec le temps, on eut tôt fait d’oublier le dernier cardeur, et il n’est guère aujourd’hui que le climatosceptique de la Maison(-)Blanche pour lâcher son post, twitteur pithiatique : « Houille, houille, houille ! »

(Fin pour les adultes professionnels)

 

 

 

11/27/17

. Les alliances diaboliques

Les alliances diaboliques serials killers, Stéphane Bourgoin enquête

 

Samedi 2 décembre à 15h
Médiathèque du Centre Culturel de la Gare de Méricourt

 

Réalisation : Laurent Abellard, Marie Juteau
Les alliances que ces criminels peuvent passer avec d’autres malfaiteurs – Stéphane Bourgoin analyse les liens tissés entre Michel Fourniret et Monique Olivier, de même que ceux unissant Dean Corll, Elmer Wayne Henley et David Brooks, des tueurs redoutables.
Production : Spica Production

Projection débat conçue et animée par Stéphane Bourgoin, écrivain et spécialiste des tueurs en série.

Dédicaces à l’issue de la rencontre
Entrée gratuite sur réservation (public averti) polarlens@mairie-lens.fr ou sur le formulaire ci-dessous

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11/13/17

. Atelier d’illustration avec Eglantine Ceulemans

L’illustratrice Eglantine Ceulemans animera un atelier autour de la course poursuite à la médiathèque de Lens

eglantine-ceulemans-polarlens

Eglantine Ceulemans est illustratrice de livres et romans destinés à la jeunesse, elle illustre principalement des textes humoristiques dont Carambol’ange écrit par Clémentine Beauvais (vous pourrez les retrouver en dédicace lors du salon PolarLens). Elle partagera ses trucs et astuces et sera ravie de réaliser avec les participants une grande fresque autour du thème de la course poursuite qui sera exposée à l’occasion de PolarLens 2018.

Eglantine Ceulemans est née en 1989 en Belgique, elle est diplômée de l’école Emile Cohl. Elle a illustré de nombreux romans jeunesse ainsi que des albums en France comme à l’étranger. Ses illustrations sont tournées vers l’humour mais aussi le partage d’émotions, pour les petits (mais aussi pour les grands !).

Rendez-vous à la médiathèque Robert-Cousin le mercredi 15 novembre de 15h à 17h pour un atelier gratuit (à partir de 6 ans)

10/30/17

. Les casses étaient presque parfaits

Les casses étaient presque parfaits…

Samedi 18 novembre à 15h
Médiathèque Robert Cousin

 

En 2010 eut lieu au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris l’un des plus grands vols d’œuvres d’art par Vjeran Tomic, surnommé « l’Homme-araignée ». Les cinq toiles qu’il déroba – Matisse, Modigliani, Picasso, Léger et Braque – sont toujours introuvables. Le monte en l’air a été condamné à 8 ans de prison et une amende colossale. C’est ce casse presque parfait que nous contera Karin Müller, le complétant de quelques autres cambriolages spectaculaires comme celui d’une immense « Nativité » du Caravage à Palerme, en Sicile ou d’un célèbre Dali, « Adolescence », retrouvé récemment après sept ans d’absence…
Les œuvres d’art sont aujourd’hui presque aussi convoitées que les bijoux ou liasses de billets des coffres forts. Suspense garanti !

Karin Müller est auteure et codirige la Galerie Gimpel & Müller de Paris. Elle préside l’association Arthémuse qui permet la rencontre d’artistes, musiciens et comédiens avec un public amateur d’arts.

Dédicaces à l’issue de la rencontre
Entrée gratuite sur réservation polarlens@mairie-lens.fr ou sur le formulaire ci-dessous

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10/20/17

. Fiction et réalité du tueur en série [COMPLET]

Fiction et réalité du tueur en série

SAMEDI 28 OCTOBRE À 15H
MÉDIATHÈQUE ROBERT COUSIN

stephane-bourgoin-conference-lens-polarlens-largeRéalisation Jac & Johan
Stéphane Bourgoin, l’écrivain Guillaume Lebeau, la policière et psychologue Laëtitia Nathan, le directeur de la «Série Noire» Aurélien Masson et le réalisateur Eric Valette évoquent la relation entre la fiction littéraire ou cinématographique et la réalité de la figure du serial killer. Des extraits d’entretiens avec des tueurs en série ponctuent à intervalles réguliers le propos des réalisateurs.
Production Empreinte Digitale & CINE+

Projection débat conçue et animée par Stéphane Bourgoin écrivain et spécialiste des tueurs en série.

Dédicaces à l’issue de la rencontre
Entrée gratuite (public averti) sur réservation polarlens@mairie-lens.fr [COMPLET]

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09/28/17

. Ecrivez une nouvelle avec PolarLens

Participez au recueil de PolarLens 2018

« Course-poursuite »

 

À l’occasion de la vingt-deuxième édition de PolarLens, la ville de Lens vous offre à nouveau l’opportunité d’écrire une nouvelle dans le cadre d’un recueil qui sortira lors de la prochaine édition de PolarLens. Vous vous sentez l’âme d’un romancier en herbe ? Plus une minute à perdre, tentez votre chance !

crédit Rawpixel-com

crédit Rawpixel-com

En 2018, cela fera vingt-deux ans que Lens donne rendez-vous aux amateurs du genre policier. « 22 v’là les flics ! », c’est l’association de cette longévité au corps de métier représenté qui fait surgir de nos mémoires cette expression argotique célèbre. Et c’est cette expression qui a inspiré le thème sur lequel, si vous acceptez notre mission, vous écrirez une courte nouvelle policière : « Course-poursuite ».

Chaque participant écrira une nouvelle noire ou policière d’une longueur de moins de 10 000 signes. Ce n’est pas tout. Elle sera soumise à quatre contraintes :

  1. La nouvelle devra intégrer, en partie ou dans son ensemble, une course-poursuite.
  2. Bien qu’il existe de nombreuses théories quant à l’origine de l’expression, celle prétendant qu’elle prend source dans le nom argotique qu’on donnait au couteau au XIXe siècle, le « Vingt-deux » – arme favorite des voyous de l’époque appelée également « couteau d’arsouille » dont la lame mesurait 22 centimètres – semble la plus probable, l’expression signifiant donc « tous à vos armes ! ». En référence à cette explication, une arme blanche, peu importe laquelle, devra apparaître dans la nouvelle.
  3. Pour amener un peu d’exotisme, tout ou partie de l’intrigue devra se situer en partie ou dans son ensemble, dans le sud (de la France, de l’Europe…).
  4. Enfin, la nouvelle devra intégrer 2 titres de romans policiers célèbres.

20 lignes à écrire avant le 31 octobre 2017

Première étape, vous avez vingt lignes (pas une de plus !) pour nous convaincre de vous retenir pour cette aventure littéraire inédite. Soyez originaux, convaincants, stylés, surprenants. Envoyez votre contribution avant le 31 octobre 2017 à l’adresse suivante : polarlens@mairie-lens.fr

Les auteurs des courriers les plus séduisants pourront nous soumettre leur nouvelle.


Modalités du concours

Concours non rétribué. Les lauréats abandonneront les droits de leur texte et verront leur nouvelle publiée dans un recueil offert aux participants le jour du Salon ;

  • Lettre de motivation au format numérique de vingt lignes maximum ;
  • Chaque envoi devra faire apparaître l’identité complète du candidat, son adresse postale, sa date de naissance et un numéro de téléphone ;
  • Seuls les candidats n’ayant jamais été publiés à compte d’éditeur peuvent prétendre participer au concours.

Pour toute question sur les modalités du concours, contactez David Boidin à : david@dbpro.fr


Crédit photo rawpixel.com