Né en 1975, Thibaud Benoit est devenu prof d’histoire dans un collège du Pas-de-Calais.

Enseigner l’histoire, c’est bien. En écrire, c’est mieux, décide-t-il un jour.

Il se confronte alors à de nombreux concours de nouvelles à travers la France. Il obtient quelques succès qui lui soufflent l’idée d’un nouveau défi. Un format : le roman, un genre : le polar, un ancrage régional : le Nord de la France. Une gestation longue mais sans douleur. Ainsi naît Le pont qui saigne. Intrigue roublarde, personnages complexes, et une touche de fantaisie pour adoucir la musique noire.

Quand le corps d’une jeune femme nue et meurtrie est découvert sur une voie ferrée sous un pont…

Quand une voix jaillit dans l’esprit torturé de l’assassin…

Quand l’affaire fait écho à celle des noyés de la Deûle…

Quand deux enquêteurs doivent s’accorder entre eux et avec leurs propres tourments…

(Sélectionné pour la finale du prix Nordek du polar nordiste)